Climate change, once a distant thunder, now roars at the gates of our legal systems and the corridors of financial institutions with a pressing urgency that cannot be ignored. As the Earth’s temperature rises, so does the tide of climate change litigation—a legal weapon increasingly wielded in the face of environmental and corporate inertia. This phenomenon has transcended beyond mere lawsuits to become a significant force capable of shaping public policy and corporate behavior, heralding a new era of environmental accountability.
Suite à de nombreux événements et changements macroéconomiques, nous avons mis en avant l’importance pour les entreprises d’adopter une attitude responsable à l’égard de la société et de son environnement. Elles doivent désormais prendre en compte les attentes de leurs parties prenantes devenues de plus en plus exigeantes. C’est alors qu’est petit à petit remis en cause le modèle de performance exclusivement financière. Nous introduisons les dimensions sociale et environnementale, ce qui nous mène alors à un modèle de performance globale de l’entreprise plébiscité par les parties prenantes notamment les investisseurs. Nous nous intéressons dans cette recherche, à comprendre dans quelle mesure nous pouvons intégrer les dimensions sociétales aux côtés de la dimension financière dans la gestion des entreprises. Au terme de cette revue de littérature, nous avons observé que l’intégration des dimensions sociétales aux côtés de la dimension financière se fait via un processus d’initiation au changement qui considère les parties prenantes.
Mots clés : Responsabilité sociale des entreprises (RSE), théorie des parties prenantes, performance financière, performance globale, management, stratégie.
La littérature financière atteste d’une transition du paradigme traditionnel axé sur la maximisation de la richesse des actionnaires vers un cadre portant sur la création de valeur durable, dans lequel la considération explicite de l’ensemble des coûts et des avantages sociaux et environnementaux revêt une importance cruciale pour toutes les parties prenantes.
La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) est un sujet omniprésent dans les médias, les entreprises et même les discussions plus informelles des collaborateurs de ces dernières sensibilisés, désormais, aux questions de transition écologique, énergétique, ou encore économique et sociale. Le sujet s’avère incontournable dans notre système économique et semble avoir été pris en compte dans les décisions stratégiques des acteurs du marché. Il devient un enjeu majeur de la finance et, en conséquence, il est au cœur, non seulement, des performances financières et extra- financières, mais encore des changements sociétaux en cours et à venir. Ainsi, l’application d’un certain nombre de principes de développement durable et de transition énergétique a conduit les entreprises à prendre en compte et à mesurer un nombre de plus en plus important de données liées à l’environnement et aux aspects sociaux et sociétaux.
The Internet of Things (IoT) is an emerging technology that is attracting interest because of its broad spectrum of applications, and the potential for radical change through its implementation in the insurance industry must be explored. Or, if this disruption were to occur, the role of the insurer would change permanently. It is therefore necessary to assess its scope.
According to a major player in the insurance market, cyber-attacks represent between 400 and 600 billion euros of losses per year. In France, the cost of cybercrime for all companies is 8.6 billion euros. In the United States of America, the latest international study by Accenture Security and the Ponemon Institute clearly indicates a rise in the financial consequences of computer attacks. A cyberattack now costs the victim an average of 13 million dollars, an increase of 27.4% in 2022, over one year. Given the magnitude of the problem, it is important to fight against this phenomenon and to find solutions that will enable companies and countries/states to defeat crime.
Plus de quatre-vingts pour cent des marchandises transportées dans le monde, le sont par voie maritime. Les particuliers sont de plus en plus nombreux à faire le choix d’une croisière pour leurs vacances. Les navires spécialisés se développent pour répondre à de nouvelles formes d’exploitation des océans.
Cette activité maritime en forte expansion, indispensable à l’économie mondiale, est également souvent mise en cause pour des raisons sociales ou environnementales.
Que font ces entreprises pour rendre leurs activités plus responsables ? C’est la question à laquelle nous allons essayer de répondre.
Pour y parvenir, nous allons développer et commenter les dispositions règlementaires et les progrès technologiques, qui démontrent la responsabilité actuelle des compagnies maritimes.
Natural disasters are a problem that affects the lives and economies of many countries and has a global impact.
Starting from this observation, this research paper will address the impact of natural disasters in the insurance environment and also the social of these risks and their interactions with insurers over the last two years in the world.
The problematic related to this assignment that guided this research, interviews and reflections is the following:
What are the lines of development used by insurers to deal with the increasingly frequent natural disasters and what are the economical and legal risks of these lines and the limits of the scope of action of insurers and reinsurers in the face of the distress of populations and governments?
At the time of this research paper, the (re)insurance market was facing challenges to develop organically. Carriers of risks were looking for new opportunities to grow and one fast-growing trend was the partnership of (re)insurers with Managing General Agencies (MGAs). MGAs are built on the principle of Delegation of Underwriting Authority, which could be broadly defined as an insurer permitting a distribution partner to act on his behalf regarding functions usually handled by the insurer. These distributers are often referred as MGAs or MGUs, sometimes as programs administrators, cover holders or underwriting agencies. They will act as representants of the carrier of risks to retail agents, wholesale agents, or directly to the customers.
Cet article est une synthèse des outils utilisés pour définir et mesurer la RES d’une entreprise et propose une nouvelle méthode concernant la mesure de l’impact écologique appelé ECO-ECO-INDEX, applicable tant aux TPE qu’aux grands groupes.