Le réchauffement climatique dont la presse nous parle constamment, n’est pas contestable. Les archives
météorologiques et quelques écrits plus anciens évoquent néanmoins des changements climatiques brutaux et
violents dont les historiens s’emparent pour expliquer des problèmes économiques passés et les conséquences
politiques qui en découlent. Il y a donc une part naturelle à ce réchauffement, que les scientifiques attribuent notamment à l’activité du soleil. Il y a également une part imputable aux activités humaines qui émettent dans l’atmosphère des gaz « à effet de serre ». La question posée aujourd’hui est ainsi celle de savoir quelle est
l’importance de l’activité humaine dans ce réchauffement climatique. Personne ne connait la réponse avec certitude, mais il n’est pas contestable que la consommation massive de sources d’énergies carbonées y participe largement.

Assurément, la crise sanitaire que nous avons traversée et dont l’issue n’est pas définitive ouvre la voie à des crises de différentes natures. Attardons-nous sur les conséquences de cette crise en matière de fiscalité des entreprises.

Les années 2020 et 2021, voire les suivantes, avec leur cortège de millions de morts et de difficultés économiques
qui en sont résulté, demeureront encore longtemps dans les mémoires collectives comme des années de crise
particulièrement aigüe au même titre peut-être que les années de peste ou de « grippe espagnole » que connurent
nos ancêtres et que Camus dans son roman La Peste avait parfaitement décrites. Le confinement partiel ou total,
comme en France entre le 17 mars et le 11 mai 2020, puis entre le 30 octobre et le 15 décembre 2020 et, enfin, entre le 3 avril et le 3 mai 2021 ont été particulièrement douloureux sur le plan économique et sur le plan social. De nombreux autres pays ont connu des situations comparables.

Le 15 juillet 2020, la Commission européenne a dévoilé son « Paquet européen en faveur d’une fiscalité équitable et
simplifiée à l’appui de la stratégie de relance ». Compte tenu de la complexification de la matière fiscale, les propositions de la Commission vont dans le sens d’une simplification des règles fiscales pour les contribuables. Ces
propositions impacteront notamment les secteurs financier et assurantiel : la modernisation des règles fiscales passera par une mise à jour de certaines règles en matière de TVA. De nouvelles obligations déclaratives et de conformité fiscale sont en outre à prévoir à la charge des entreprises.

Cet article est une estimation du nombre de redressements judiciaires et liquidations judiciaires pour les années 2021, 2022, 2023 et les principales conséquences de ces dernières sur l’assurance-crédit.

La loi PACTE impose le référencement, au sein des contrats d’assurance-vie, de trois unités de compte issues de la
finance engagée. Si l’approche est ambitieuse, c’est parce qu’elle s’appuie sur des agréments et labels rigoureux
qui ne pourront être appliqués également entre les différents assureurs-vie. Les contraintes liées aux moyens,
la commercialisation et la règlementation favoriseront la concentration sur ce segment plutôt que son accessibilité.

Suite à la création de la 5ème branche de la Sécurité Sociale française pour la dépendance, l’objectif de cet article est de clarifier la définition et le périmètre du risque et de tirer profit des modalités de financement choisies par d’autres pays de l’Union européenne. Il montre que le concept de dépendance souffre d’un flou lexical et de recouvrements des différentes notions servant à l’identifier. Ce flou rend d’ailleurs difficile les comparaisons internationales efficaces, malgré des efforts d’organismes comme l’OMS et l’OCDE. Nous voyons que l’approche par l’analyse de risques aide à clarifier ce périmètre du risque dépendance. Ce périmètre stable et clair est un
préalable à la construction d’un régime de financement, peu importe ses modalités pratiques. L’analyse d’expériences d’autres pays européens (Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne et Pays-Bas) montre qu’aucun régime n’est parfait et que le périmètre de la dépendance fluctue pour s’ajuster aux problèmes de financement. Au final les enjeux de fond demeurent, dont le défi du vieillissement démographique et donc le rôle de la branche famille dans la gestion de la dépendance, s’y ajoutent l’éparpillement des prises en charge et des financements qui ne facilitent pas le contrôle des coûts.

Cet article met en lumière les spécificités de la digitalisation du marketing des assurances, dont l’objectif ultime est
d’optimiser l’expérience client. Il se concentre sur les assurances santé des particuliers, lesquels ont besoin d’une
relation proche avec leurs assureurs. La pandémie de la Covid-19 est aussi évoquée afin de mieux contextualiser
sur la base de l’étude empirique réalisée. Cette dernière consiste en une Analyse de Données Textuelles (ADT) à
l’aide du logiciel Sphinx iQ2 – Quali pour appréhender la perception des assurés quant à leurs assurances santé.
L’analyse sus-évoquée permettra de mettre en évidence la stratégie digitale à adopter par le biais de propositions
concrètes pour les assureurs.

Le digital permet aux organisations d’améliorer leurs performances tant stratégiques qu’opérationnelles et
d’apporter des solutions en période de crise sanitaire. Dans cet article, nous avons exploré la transformation digitale de la relation client dans le contexte de la Covid-19 et de Post-Covid19. Pour ce faire, nous nous sommes appuyés sur une étude qualitative de terrain qui nous a permis d’aborder deux principaux thèmes : (1) l’impact de la crise de la Covid-19 sur la relation client, (2) la transformation digitale de la relation client. Cet article montre, non seulement le rôle de la transformation digitale dans le maintien de la relation client et de la collaboration à distance, mais aussi
comment cette transformation apporte des réponses à des situations nouvelles.

S’assurer contre le risque cyber est devenu un exercice compliqué : hausse des primes et des franchises, baisse
des capacités et des couvertures, introduction de clauses d’exclusion. L’accès à des conditions d’assurance
satisfaisantes se fait malheureusement de plus en plus rare sans un minimum de ressources et d’investissements dédiés à la lutte contre la cybercriminalité. Face à ce constat, de nombreuses entreprises ayant développé au cours des deux dernières décennies des modèles de fonctionnement fortement digitalisés ont placé la résilience organisationnelle au cœur de leur stratégie de gouvernance.