The Internet of Things (IoT) is an emerging technology that is attracting interest because of its broad spectrum of applications, and the potential for radical change through its implementation in the insurance industry must be explored. Or, if this disruption were to occur, the role of the insurer would change permanently. It is therefore necessary to assess its scope. 

According to a major player in the insurance market, cyber-attacks represent between 400 and 600 billion euros of losses per year. In France, the cost of cybercrime for all companies is 8.6 billion euros. In the United States of America, the latest international study by Accenture Security and the Ponemon Institute clearly indicates a rise in the financial consequences of computer attacks. A cyberattack now costs the victim an average of 13 million dollars, an increase of 27.4% in 2022, over one year. Given the magnitude of the problem, it is important to fight against this phenomenon and to find solutions that will enable companies and countries/states to defeat crime.

Plus de quatre-vingts pour cent des marchandises transportées dans le monde, le sont par voie maritime. Les particuliers sont de plus en plus nombreux à faire le choix d’une croisière pour leurs vacances. Les navires spécialisés se développent pour répondre à de nouvelles formes d’exploitation des océans. 

Cette activité maritime en forte expansion, indispensable à l’économie mondiale, est également souvent mise en cause pour des raisons sociales ou environnementales. 

Que font ces entreprises pour rendre leurs activités plus responsables ? C’est la question à laquelle nous allons essayer de répondre. 

Pour y parvenir, nous allons développer et commenter les dispositions règlementaires et les progrès technologiques, qui démontrent la responsabilité actuelle des compagnies maritimes.

Natural disasters are a problem that affects the lives and economies of many countries and has a global impact. 

Starting from this observation, this research paper will address the impact of natural disasters in the insurance environment and also the social of these risks and their interactions with insurers over the last two years in the world. 

The problematic related to this assignment that guided this research, interviews and reflections is the following: 

What are the lines of development used by insurers to deal with the increasingly frequent natural disasters and what are the economical and legal risks of these lines and the limits of the scope of action of insurers and reinsurers in the face of the distress of populations and governments?

At the time of this research paper, the (re)insurance market was facing challenges to develop organically. Carriers of risks were looking for new opportunities to grow and one fast-growing trend was the partnership of (re)insurers with Managing General Agencies (MGAs). MGAs are built on the principle of Delegation of Underwriting Authority, which could be broadly defined as an insurer permitting a distribution partner to act on his behalf regarding functions usually handled by the insurer. These distributers are often referred as MGAs or MGUs, sometimes as programs administrators, cover holders or underwriting agencies. They will act as representants of the carrier of risks to retail agents, wholesale agents, or directly to the customers. 

 Cet article est une synthèse des outils utilisés pour définir et mesurer la RES d’une entreprise et propose une nouvelle méthode concernant la mesure de l’impact écologique appelé ECO-ECO-INDEX, applicable tant aux TPE qu’aux grands groupes.

L’exigence de transparence qui irrigue la fiscalité induit une nouvelle forme de gouvernance pour tous. La « bonne » gouvernance fiscale implique par exemple l’amélioration des rapports entre le fisc et les contribuables, l’anticipation des risques fiscaux encourus par les entreprises ou encore la définition de nouveaux standards internationaux en matière de lutte contre la fraude et l’évasion fiscales. Reposant à l’origine sur une démarche volontaire des contribuables, cette nouvelle norme de référence contraint désormais tous les acteurs de la fiscalité à se mettre au diapason. 

A l’heure de l’austérité énergétique, les entreprises vont devoir renforcer leurs efforts de réduction de leurs consommations énergétiques. Longtemps l’industrie a été considérée comme « polluante » et, par opposition, les entreprises technologiques ou de services étaient considérées comme faiblement polluantes, voir presque « vertes ». Or rien qu’en France, les data centers consomment près de 10% de l’énergie du pays. Dans ce contexte, les activités de services, technologiques qui utilisent comme ressources des serveurs de données et des serveurs de traitements doivent également contribuer à cet effort. Comment appréhender la consommation d’un site d’hébergement de données communément appeler « Data Center »

La réglementation financière européenne a récemment été assortie d’une nouvelle exigence : l’évaluation des préférences des clients en matière de durabilité. Si la démarche du régulateur ne surprend pas, compte tenu du contexte de lutte contre l’écoblanchiment, sa mise en oeuvre pose problème, ce qui suscite des interrogations sur l’application de ce dispositif chez les distributeurs et sur sa pertinence. 

La responsabilité sociale des entreprises prend une dimension stratégique dans la vie des organisations. La présence numérique des salariés en dit long sur leur entreprise et laisse entrevoir ses valeurs et ses pratiques, notamment en ce qui concerne ses engagements RSE. Dans ce travail, nous nous sommes intéressés à la relation existante entre la présence numérique des salariés et l’image RSE de leur entreprise. Nous avons mené une étude de terrain avec une compagnie d’assurance et avons analysé comment s’articule cette présence numérique des employés avec la politique de cette organisation.